L'Australie
Ce qui est strictement interdit dans le Royaume de Belgique,
tous les Membres du Législatif ne vont jamais accorder la véritable démocratie
aux Dames Agenre-Asexuée Trans.
Seul un Arrêt Judiciaire de la Cour Suprême,
accordera la véritable démocratie.
En Australie,
des centres de fertilité exclusivement LGBTI
° Accompagner les personnes LGBTI dans leur
projet parental :
Conservation des gamètes pour les personnes trans,
procréation médicalement assistée pour les couples de femmes, gestation pour
autrui pour les hommes… Pour la première fois en Australie, des centres de
fertilité spécialement dédiés aux personnes LGBTI ouvrent leurs portes dans
quatre États du pays : la Nouvelle-Galles du Sud, le Queensland, le Victoria et
l’Australie Méridionale.
Cette initiative novatrice lancée le 14 avril se
nomme Rainbow Fertility, et s’impose comme le tout premier service de fertilité
exclusivement dédié aux personnes LGBTI en Australie. Celle-ci concerne cinq
grandes villes du pays, à savoir Sydney, Melbourne, mais aussi Adelaïde,
Brisbane et Gold Coast.
L’objectif de ce service est notamment de palier «
la confusion et l’incompréhension des autres, parfois même des professionnels
de santé » dont sont victimes les personnes LGBTI durant leur projet parental,
en assurant un suivi « sans jugement »
Avec une vaste expérience dans la FIV, le don de
gamètes, et les services de substitution, nous ne définissons pas comment une
famille devrait être, mais nous nous
concentrons pour aider les gens à créer la leur. (…) vous serez traités avec
compassion, soin et compréhension à chaque étape.
Ce service novateur est lancé par City Fertility
Centre, l’un des plus importants organismes privés australiens spécialisé dans
la fécondation in vitro.
En effet, bien que les conseils et les services des
cliniques City Fertility soient déjà ouverts aux personnes LGBTI, la grande
nouveauté de cette initiative est de proposer un service autonome répondant
spécifiquement aux besoins LGBTI.
« Refléter la
réalité du monde dans lequel nous vivons »
D’après Adnan Catakovik, le PDG de City Fertility
Centre, l’ouverture de centres Rainbow Fertility illustre ainsi l’acceptation
progressive des familles homoparentales en Australie :
La parentalité pour les couples de même sexe est
devenue quelque chose de plus reconnu par notre communauté, et ce nouveau
service reconnaît cela également. A Rainbow Fertility, nous croyons en
l’égalité de traitement pour les personnes, et l’accès aux mêmes possibilités.
Nous voulons simplement refléter la réalité du monde dans lequel nous vivons.
Il est même souligné que les membres du personnel de
Rainbow Fertility ont pris le temps « d’assister à des séminaires et à des
évènements LGBTI pour avoir une meilleure compréhension » des enjeux et des
défis rencontrés par les femmes lesbiennes, par les hommes gays, mais aussi par
les personnes trans ou intersexuées.
PMA pour les
femmes, GPA pour les hommes
Plus précisément, les cliniques Rainbow Fertility
proposent aux couples de femmes le don de gamète, la conservation de leurs
ovocytes, la fécondation in vitro et l’insémination artificielle. Les couples
d’hommes peuvent aussi conserver leurs gamètes mais surtout bénéficier de la
gestation pour autrui, ou de la maternité de substitution (c’est-à-dire que la
mère porteuse est biologiquement la mère de l’enfant qu’elle porte) ; cela
s’adresse également aux hommes homosexuels célibataires.
Enfin, les personnes trans peuvent suivre un
traitement de fertilité précédant ou suivant leur transition hormonale, et
conserver leurs gamètes. Concernant les personnes intersexuées, chaque individu
présentant des besoins spécifiques, les cliniques Rainbow Fertility proposent
des solutions personnalisées.
° Par Julie Baret le 18 avril 2016.
Monsieur le Juge, je rappelle que j’ai apporté la
preuve du 13 mai 2014, que Madame le
Docteur Annick Delvigne, Gynécologue à la clinique CHC St Vincent à Rocourt,
interdit formellement à une Dame Agenre-Asexuée Trans, une Famille, la
Parentalité.
Je rappelle aussi que le Docteur Delvigne joue avec
le LGBTQI, la raison qu’elle ne m’a accordé aucun respect, le Docteur Delvigne
m’a traité comme ses amies du LGBTQI.
Monsieur le Juge, le Docteur Delvigne confirme les
Crimes à l’Humanité avec une Dame Agenre-Asexuée Trans.
Madame Caroline Doppagne de la direction du CHU, est
complice de ces Crimes à l’Humanité, avec le Docteur Luc Coppens.
Monsieur le Juge, dans le Royaume de Belgique, tous
les Membres du Médical, interdisent le Parental à une Dame Agenre-Asexuée
Trans.
* Australie : reconnaissance légale pour ceux qui ne
s’identifient ni ‘M’ ni ‘F’
Les australiens qui ne s’identifient pas comme homme
ou femme ont obtenu une reconnaissance juridique formelle, après que la Cour
d’appel a infirmé une décision qui voulait que tout le monde soit répertorié
comme un homme ou comme une femme dans le registre des naissances, des décès et
des mariages.
Dans une décision historique avec des implications
importantes pour des milliers de personnes intersexuées, de personnes
androgynes et ‘neutre’ (agenre) dans l’ensemble du pays, le tribunal de Sydney
a confirmé ce vendredi l’appel interjeté par l’activiste Norrie, allant contre
une décision du Tribunal Administratifs qui imposait que les gens soient
officiellement enregistrés comme “M” ou “F”.
Pour l’histoire, Norrie, qui s’identifie comme
neutre et utilise uniquement son prénom, est devenu le premier à n’être ni
homme ni femme aux yeux du gouvernement lorsque pour ses 52 ans cet habitant de
Sydney a été désigné de sexe “non spécifié”.
Mais quatre mois plus tard, le registre de l’état
civil australien a écrit à Norrie, en lui disant que le changement n’était pas
valide et avait été «délivré par erreur”.
Norrie a fait appel de la décision devant le
Tribunal des recours administratifs. Mais ce recours a été rejeté, le tribunal
administratif précisant alors que pour respecter le droit le registre ne
pouvait indiquer le sexe de quelqu’un que comme masculin ou féminin.
Trois ans plus tard, Norrie avec cet appel devant la
Cour vient de remporter une victoire presque totale. Les juges ont déclaré à
l’unanimité que le mot sexe n’est pas porteur en soi d’un sens binaire
“masculin” ou “féminin”.
L’affaire a été renvoyée devant le Tribunal des
décisions administratives pour se prononcer sur la désignation «asexué» pour
Norrie dans le registre de l’état civil.
Bien que la décision puisse juridiquement ne
s’appliquer qu’à ceux qui comme Norrie ont subi une chirurgie de réassignation
sexuelle, elle aura forcément des implications fortes pour beaucoup d’autres
personnes, notamment pour les bébés qui sont nés avec des organes génitaux
ambiguës et pour les personnes qui ne s’identifient ni comme homme ni comme
femme, et ce en dépit de caractéristiques physiques mâle ou femelle.
“C’est une décision important qui reconnaît que le «
sexe » n’est pas binaire – que ce n’est pas seulement « masculin » ou « féminin
» – et que nous devrions avoir la reconnaissance de cela dans la loi et dans
nos documents juridiques,” a indiqué l’un des avocats de Norrie.
“Cela crée un précédent. A l’avenir, les ministères
et les tribunaux peuvent adopter le raisonnement utilisé par la Cour d’Appel.”
a déclaré Norrie. «Ce n’est pas suffisant si la loi est juste pour la majorité
des gens … nous acceptons que la majorité des gens n’aient aucun problème à
être homme ou femme, mais la loi devrait inclure tout le monde ».
Librement traduit de l’anglais par Julie M.
Source:txy.fr
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